dimanche 20 juillet 2008

II - RENCONTRE MARQUÉE

C'était matin de samedi, jour de repos conforme fait l'éloge du Gênese Biblique. Il était moi avec trouve marqué avec le Ton. Cette fois je me suis déplacé dans mon automobile pour une certaine de la ville provinciale, laisse ma voiture avec un mécanicien d'un atelier il pour faire une révision, lui avance quelque argent en disant que le reste payerait dans le retour et comme avait la probabilité de me retarder, lui ai demandé que, fini le service, gardait ma voiture jusqu'à mon retour.
João Gros, était ainsi que le mécanique était connu, n'a pas fait objection ni demande quelques-unes, a seulement dit :
- Peut aller Docteur et retarder le temps qui voudra. Ici qui il ordonne c'est toi. Sa voiture va être bien gardée et quand il t'arrivera il va trouver lui fonctionné comme ce s'était nouveau.
J'ai remercié à João Gros et ai sorti à pied. Comme orientation reçue et confirmée par le Ton, a un kilomètre et moyen de cette ville, dans la direction norde, après la transposition d'un bois fermé, avait un espace propre avec sol d'argile durcie d'un cinquante mètres de diamètre.
Ce a été pour ce lieu que je me dirige. De possession d'une boussole ce m'a étée facile d'arriver au lieu. Il tue même était fermé et de difficile transposition, mais non pour moi qui aime ce type d'aventures dans contact avec la nature. Ce m'a été très agréable d'être fois ou autre en m'abaissant ou en me déviant des brindilles du bois, quelques fois en étant pressé entre les bois dans certaines des passages bien fermés, en sentant frôler des feuilles dans le corps me massageando et moi inebriando avec l'odeur agréable laquelle d'ils elles exhalaient.
Quand je suis arrivé à la clairière, je suis resté quelque temps en admirant la beauté du lieu. J'ai observé l'horloge, étais 10:30 heures, ai dépensé plus d'une heure dans la transposition du bois. Mais que belle oeuvre de la nature ! Cet espace ouvert était entouré d'arbres par tous les côtés, avec des roches lisses rasses au sol, en étant certaines de grande extension. Comment ótimo place pour méditation, dit de moi envers moi ! Quand ainsi il restait ils extasié ont entendu le son de l'hélicoptère. C'était le Ton qui s'approchait. Il semble déjà savoir de ma présence, donc qui arrivait dans plus tôt de l'heure qui a combiné.
Dans nous ne les retardons pas, mis l'hélicoptère je suis entré dans lui et voyageons par long temps plus de montagnes, de villes, de vallées et de montagnes jusqu'à ce que nous arrivons à son adresse dans le sommet de la montagne. Sérénade et la chienne Étoile étaient dans en l'attente.
Sérénade, très aimable a étreint le Ton et ensuite il m'a complimenté avec un sourire bonne accueilli, tant qu'Étoile sautait incessantement sur moi, en aboyant et en équilibrant la queue, avec grande joie incontida.
Brièvement et agréable randonnée entremêlée de conversations, en montant quelques déclivités de Serra, nous arrivons au singulier et à la belle adresse du Couple.
Après quelques préparatifs et un casse-croûte léger, nous asseyons dans de confortables chaises au devant de la maison sous fronde d'immense arbre et commençons à parler, et le Ton, avec la présence, fois ou autre, de Sérénade, qui néanmoins se soulevait pour quelque tâche habituelle, néanmoins arrive pour les accompagner dans les idées lesquelles nous développions, presque toujours avec significatif silence, bien que son expression faciale et son regard dans elles communiquait accord et approbation.
Jusqu'alors nous avions parlé de sujets à liés à l'adresse dans Serra, quand le Ton me demande :
- Tu allez bien, n'est pas Ramezoni ?
- Avec certitude, après l'apprivoiseur et l'agréable randonnée que j'ai fait et encore davantage maintenant que je suis ici, n'existent pas des mots qui traduisent mon état d'Esprit, je suis bien, bien jusqu'à excessivement…
- Et le monde là dessous, ce qui tu me dit de lui ?
- Ah !. C'est une folie, beaucoup d'illusion dont il retient la richesse, misère lâche échelle en dévastant la population, la faim, le décès, la criminalité croissante, l'incroyance, valeurs morales desfeitos, promesses d'un monde mieux trompeuses, un avenir semé d'incertitudes, la philosophie du plaisir et du profit en prédominant, familles si en défaisant, enfants abandonnés et sous-alimentés, le spectre de la faim en moissonnant vies innocentes, l'insécurité, le progrès en détruisant dominantement la nature, la science et la technologie si en développant dans une vitesse vertigineuse sans, néanmoins, égaler le problème crucial de l'être humain qui est le bien-être social de condition de vie digne, avec éducation, culture, habitation, santé, alimentation, travail et loisir.
- Ami Ramezoni, je peux l'appeler ainsi parce que je te considère comme un dont il pense égal à nous. C'est donc que tu c'est et sera toujours bienvenue à notre sein familier. Ce a été une découverte brillante de le trouver, ou meilleur, tu c'est que dans eux il a trouvé et nous dans les découvrons à l'autre.
Au ce moment, Sérénade qui avait si absenté arrive souriant, s'assied dans une chaise au côté et parle :
- Par le visage de vous je perçois que la conversation est animée et salutaire et seulement en commençant…
- C'Est bien vérité - a achevé le Ton - Ramezoni permet de grands vols culturels qui peuvent desserrer des voiles qui permettent enxergar solutions pour beaucoup de problèmes de l'humanité…
- J'allais remercier aussi à gentis des mots, quand Étoile en arrivant d'une incursion dans le bois par la banlieue de la maison arrive en aboyant et saute dans mon col… Ramezoni

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